Articles les plus récents
GLAT 1965-03b : Correspondance d’un lecteur et sympathisant. Pas conforme à la tradition
Lutte de Classe — Mars 1965 / p. 3 - 4
(Où il apparaît que la lutte des travailleurs contre l’ennemi de classe ne passe pas par l’intermédiaire des organisations syndicales reconnues d’utilité publique).
Un atelier d’outillage de 100 métallos à Paris, dont une majorité de travailleurs « 15 ans de maison » et quelques jeunes.
Histoires de jeunes racontées par un militant ouvrier chevronné :
Jacques en a marre de la boîte. Il va donner son compte mais la dernière fois, dans une autre entreprise, il a été obligé de faire ses quarante
heures. Ce matin là (...)
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GLAT 1965-03a : La récession et les travailleurs
Lutte de Classe — Mars 1965 / p. 1 - 3
L’opération « stabilisation » suit son cours. De tous côtés, on annonce la stagnation ou la baisse de la production ; les fermetures d’usines et les licenciements se multiplient ; de nombreux travailleurs sont réduits au chômage partiel ou, en tout cas, voient se réduire les heures supplémentaires (ce qui ne serait pas désagréable si la paie ne s’en ressentait pas, mais justement...).
Disons-le encore une fois : il y a très peu de chances, dans les conditions actuelles, pour que cette « récession » se transforme en (...)
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GLAT 1965-03e : Syndicalisme et socialisme en Algérie
Lutte de Classe — Mars 1965 / p. 5
À l’occasion du second congrès annuel de l’Union Générale des Travailleurs Algériens (U.G.T.A.), M. Ben Bella a cru bon de prononcer un petit discours destiné à donner des idées aux syndicalistes ; mieux même que des idées, une véritable idéologie.
Reprenant un raisonnement célèbre, celui des staliniens, le gouvernement algérien avertit que le fonctionnement du secteur auto-géré et nationalisé ne doit en aucun cas être freiné par un mouvement de grève, qualifié pour la circonstance de « crime d’État ». En effet, comment (...)
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